L'entrée principale de l'institut est en général le lieu de rendez vous des équipes de chasseurs d'ombres avant leurs départs en missions. C'est également à cet endroit que sont tenus des briefings sur le ou les démons à chasser, lorsqu'ils ne sont pas directement faits en salle des armes. C'est une grande salle dominée par les immenses portes d'entrées semblables à celles d'un château. Le plafond se trouve à une dizaine de mètres du sol, si bien que dans l'obscurité, il n'est même pas visible.
Le sanctuaire est le seul endroit de l'Institut qui ne soit pas sanctifié. C'est là que les chasseurs d'ombres rencontrent ceux qui, pour une raison ou une autre, ne peuvent pas fouler un sol sacré. Les vampires, par exemple, qui sont considérés comme maudits. Cet endroit sert aussi à accueillir les Créatures Obscures menacées par des démons ou d'autres habitants du monde occulte. Pour cette raison, de nombreuses protections sont placées sur la porte, et il est difficile d'entrer ou de sortir de la pièce sans une stèle ou une clé. Au centre de la pièce, une immense statue de l'Ange Raziel trône, ainsi qu'une fontaine.
Le salon, faisant office de salle à manger également, est assez spacieux pour contenir une table qui aurait pu accueillir vingt convives. Une immense suspension à gaz d'époque y dispense une lumière jaune chaleureuse. Sur un buffet chargé de porcelaine coûteuse, un miroir à dorures reflète toute la salle et souvent, un petit vase rempli de fleurs blanches déposées par Tessa orne le centre de la table. Tout est toujours décoré avec goût et simplicité. Les lieux ne présentent rien d'inhabituel, aucun détail susceptible de révéler la nature des occupants de la demeure.
La salle de bal est la salle où se déroulent la plupart des fêtes de l'Institut et autres célébrations. C'est également ici qu'a lieu, chaque année, la fête de Noël qui regroupe tous les chasseurs d'ombres de Londres et leurs invités. Les fenêtres sont encadrées de grands rideaux blancs qui, avec la lumières, reflètent une lumière blanche et éclatante dans toute la salle, qui est dominée par d'immenses lustres datant du dix-septième siècle. C'est une des salles dont la décoration n'a pratiquement pas changé depuis des centaines d'années.