Amethyst est née d’une mère ayant le don de double vue et d’un père mortel. Sa mère avait toujours caché a son père le fait qu’elle pouvait voir un autre monde, donc la première fois qu’Amethyst fit part d’un récit où il y avait vampires et loup-garous , son père fut très surpris mais accepta le fait que des choses existaient sans son control. Lorsqu’Amethyst eut 3 ans, son père qui était dans le service militaire fut retrouvé mort. Son corps bruler si intensément que la seule chose qui l’identifia fut ses tags. Les funérailles furent intimes avec seulement la famille et le squadron de son père comme invités. Amethyst arrêta pendant quelques mois de faire ses récits, les mois se changeant en années et durant ce temps sa mère se remaria avec un homme abusif. La première fois qu’elle en fit part a son beau-père, celui-ci la traita de monstre et tenta de la noyer dans le bain. Elle fut sauvée par sa mère qui revenait de faire les courses et fut envoyer dans sa chambre. Ce soir-là elle entendit sa mère se faire abuser sexuellement par son beau-père pour l’avoir sauvé. Elle vécut dans la violence et la peur que son beau-père ne l’attaque elle aussi jusqu’à ce qu’elle reçue sa lettre pour le pensionnat. A peine eut elle embarquer dans l’Express pour sa première année qu’elle reçue un appel de la police pour lui dire qu’ils avaient retrouvé sa mère morte, dans une ruelle avec ses vêtements en lambeaux.  Elle fondit en larmes et resta dans son coin de wagon, ne regardant personne. Elle savait que tout serait dans le journal soit le soir même ou le lendemain matin. Elle se changea et lorsque le train s’arrêta sauta en bas pour esquiver tout le monde jusqu’au chariots qui apporterait les premières années au pensionnat. Lors de la répartition elle évita les regards et attendit son tour pour que le professeur lui pose les questions de base pour déterminé où elle irait et qu’il se prononce…

- Basilisk!!

Elle passa le premier mois de sa scolarité au pensionnat en deuil, son cœur en rage contre l’homme qu’elle savait être le tueur. Mais jamais personne ne la croirait si elle leur disait que c’était le mari de sa mère. Après ce premier mois elle se fixa un masque joyeux et se mit à approcher les gens et se faire des amis. Peu lui importait leur maison, si tu es correct avec elle, elle sera correct avec toi. C’était sa philosophie. Elle passa ses années au pensionnat heureuse avec ses amis et ses étés à survivre la violence de son beau-père. L’argent que sa mère avait à la banque ne lui appartenant qu’à elle. Son beau-père n’étant pas cité dans son testament. La seule personne qui savait ce qui lui arrivait à la maison était le Professeur Remus. A la fin de l’année il fut forcé de démissionner mais elle continua à lui écrire quand les choses allaient mal. Elle réussit à passer ses examens et sa sixième année au pensionnat avant que tout ne déraille encore plus.

Lors de l’été de de sa sixième année son beau-père l’enferma aux sous-sol et la battu jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus bouger. Lorsqu’elle fut paralisée par la douleur il l’abusa sexuellement et la laissa pour morte. Elle sa douleur au fond de son esprit et se concentra pour se libéré. Dès que ce fut fait, elle trouva tous ses effets personnels avant de se sauver. Lorsqu’elle fut assez loin elle envoya une lettre aux autorités pour leur dire ou elle était et ce qui s’était passer…

S’en suivit un été difficile en émotions, jusqu’à ce qu’elle retourne au pensionnat. Elle envoya des commandes par la poste pour ses effets scolaires et ne sorti en publique que pour prendre le train pour sa septième année. Cette année fut remplit de procès et de témoignages et elle fut enfin libérée de son passé lorsque son beau-père fut envoyer en prison a vie.

Elle finit ses études en Juin et utilisa une partie de l’argent que sa mère lui avait laisser pour ouvrir un centre pour orphelins et victimes d’abus. Elle nomma le centre "Phoenix" car il est la pour aider les gens a refaire leur vie. Le jour elle s’occupait des enfants et la nuit elle s’entrainait au parcours et à la gymnastique. Elle se félicita d’avoir choisi cette option plutôt que le football comme la plus part des gens au pensionnat. Au moins la gymnastique pouvait servir à quelque chose.

Elle voit encore ce monde si différent du sien et en même temps, si similaire et veut tout savoir sur celui-ci. Il ne lui reste plus qu’à attendre d’être abordée…