L'aile sud de l'institut est la plus haute et imposante. Le plafond semble presque disparaître dans l'obscurité tant il est haut. Il y a des tapisseries accrochées aux murs représentant des étoiles, des épées, des dessins et modèles de runes. L'Institut est assez grand pour être labyrinthique pour les nouveaux arrivants, et beaucoup passent de longues minutes avant de trouver ne serait-ce que le salon.
Si bien des pièces de l'Institut de Londres sont dédiées à l'art du combat et l'entretien physique des chasseurs d'ombres, sa partie nord est, de son côté, consacrée à la connaissance et au repos spirituel. La bibliothèque possède des ouvrages considérés comme disparus de la surface de la Terre, uniques, et un exemplaire ancien du Codex des chasseurs d'ombres. La piscine et les jardins aident au calme et à la quiétude après les combats. C'est pour beaucoup leur partie favorite de l'institut.
La partie ouest de l'institut de Londres est exclusivement réservée à l'entraînement et aux techniques de combat des chasseurs d'ombres. Dès l'enfance, les néphilims résidents de l'institut de la ville apprennent l'art et le maniement des armes et lames séraphiques entre ces murs, et tous connaissent la salle d'armes sur le bout des doigts. Au sous sol, l'ancien laboratoire d'Henry Branwell est désormais la salle où se trouve le tout premier portail qui fut créé.
L'aile Est s'étale sur quelques étages, mais reste plus petite que les autres. Elle sert principalement au repos des chasseurs d'ombres. Il y a suffisamment de chambres pour contenir une cinquantaine de néphilims, et une vaste infirmerie pour le repos des blessés dont les iratzes seules ne suffisent pas à guérir pleinement, et où la présence de Frères Silencieux devient, de ce fait, nécessaire.